- Ulmann, rue – Voir Salaire, rue
- Union, rue de l’ – Voir Croutelle, rue
- Union Foncière, cour de l’ (disparue) Elle ouvrait rue de l’Union Foncière.
- Union Foncière, impasse de l’ – Voir Gény, rue Raoul
- Union Foncière, passage de l’ (créé en 1898) Il allait de la rue de l’Union Foncière à la rue Sainte-Geneviève.
- Union Foncière, rue de l’ -voie privée, donnée en 1887) -Rues en équerre. -Association créée en 1878 pour permettre la construction de maisons payables par annuités. La rue a été créée par l’association. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Union Foncière, rue de l’ – Voir Pussot, rue Jean -Rues en équerre
- Unité, rue de l’ – Voir Magdeleine, rue de la
- Unité Sociale, rue de l’ – Voir Magdeleine, rue de la
- Université, rue de l’ - (baptisée en 1886) -Même voie que ci-dessous Depuis le 9ème siècle, dans un enclos qui longeait la rue, il existait plusieurs établissements d’enseignements, à commencer par le collège des « Bons Enfants » . Lors de fouilles, on a trouvé des traces du Cardo romain. Une maison de 1534 numérotée 2102 (numérotation de 1766) se trouvait dans la rue d'après les archives de l'archevêché. Elle fut démolie à une date inconnue. En 1795, le lycée fut précédé par un collège appelé" salle Saint-Patrice". En 1840, il avait été envisagé de reconstruire le lycée à la place de la caserne Colbert sur le boulevard de la Paix. il fut finalement reconstruit sur place. Dans la cave des cuisines il y avait un accès à des souterrains conduisant vers le cours Anbatole France. (souvenir personnel, explorés en 1950) Y avait-il liaison avec ceux partant de la place du Forum ? En 1864, la rue allait de la place Godinot à la rue du Barbâtre.
5 voies précédentes regroupées et ayant porté plusieurs noms.
-1-A- Martyrs, rue des -Elle allait de la place Carnegie à la place Godinot. Des fouilles ont découvert des tombes antiques avec des squelettes percés de flèches.
-1-B- Saint-Étienne, rue. -Le nom vient de l’église du même nom démolie en 1795. Elle vient en prolongement de la rue de l’Université et de la rue de la Peirière. En 1873, la sous préfecture était installée au n° 33 de la rue. elle était dans ses murs après avoir navigué dans plusieurs endroits de la ville en location de la rue du Marc à la rue de l'Echauderie. Elle a été détruite en 1914. Une maison de 1525 numérotée 2160 s'y trouvait, détruite à une date inconnue.
-1-C- Peirière, rue de la (baptisée en 1836) ( ou ci-dessous)
C'était le prolongement de la rue de l'Université. La rue a été redressée et élargie en 1765. Elle donnait rue Saint-Étienne.
-1-D- Perière, rue de la
-1-E- Révolution, rue de la - (baptisée en 1794)
-1-F-Saint Étienne, rue - (nom repris au 19ème siècle) - Prolongement de la rue de la Révolution. En 1864 on y voyait une maison à l'enseigne de "l’Écu de France" de 1665.
-2-A- Anges, place des -Au 7ème siècle, il existait une chapelle dédiée aux Anges et à l’Archange Saint Michel. La place allait de la place Godinot à la rue du Barbâtre.
-3-À- Saint-Antoine, rue -Dit Antoine l’Ermite (3-4ème siècles.) De l’hôpital du même nom. En médecine, on relevait le cas de la maladie du feu de Saint-Antoine que l’on appelait aussi Feu Sacré, Feu de Saint-Michel, Convulsion de Sologne et plus tard ergotisme. On a fait venir à Reims un religieux de l’ordre des Antonins qui s’étaient « spécialisés » dans cette maladie pour conjurer le mal. En 945, Frodoart (Flodoard) parle d’épidémie ayant touché la France entière. Au 18ème siècle, on découvrit que cela était du à de la farine contaminée par de l’ergot de seigle.
-3-B- Saint-Patrice, rue -Patron de l’Irlande, (385- 461) Lieu de naissance incertain, en Écosse ou Pays de Galle ou France !! (au choix) Baptisée du nom d’une chapelle au nom de ce saint dans l’enceinte du collège des Bons Enfants.
Note : Dans la cour du collège, en bordure des rues ci-dessus, on pouvait voir les voies suivantes
-4-A-Saint Antoine, place -
-4-B- Saint Patrice, cour
-5-A- Enfance, rue de l’ - (baptisée en 1794)
-6-A- Lycée National, rue du
- Université, rue de l’ – Voir France, cours Anatole -Même voie que ci-dessus
- Université, rue de l’ – Voir Grand Credo, rue du -Même voie que ci-dessus
- Urbain, rue Jean Pierre Joseph (créée en 1965) Architecte (26/06/ 1920-18/05/1960)
- Urbain II, rue – Voir Marteau, rue Albert.
- Usine, rue de l’ -Origine : Usine élévatoire des eaux du père Féry dont on peut encore voir le bâtiment en bordure de l’avenue de Champagne.
- Usine du Château, rue de l’ (d’après l’annuaire Matot-Braine de 1901)
Elle allait de la rue de Bétheny à la rue Gosset.
- Utrillo, rue Maurice. Nom réel, Maurice Valladon (créée en 1974) Artiste peintre (26/12/1883-05/11/1955) Né de père inconnu. Sa mère était Suzanne Valladon. Il fit plusieurs séjours à l’asile. Sa peinture a été souvent plagiée, il y eut de nombreux faux.
- Union, rue de l’ – Voir Croutelle, rue
- Union Foncière, cour de l’ (disparue) Elle ouvrait rue de l’Union Foncière.
- Union Foncière, impasse de l’ – Voir Gény, rue Raoul
- Union Foncière, passage de l’ (créé en 1898) Il allait de la rue de l’Union Foncière à la rue Sainte-Geneviève.
- Union Foncière, rue de l’ -voie privée, donnée en 1887) -Rues en équerre. -Association créée en 1878 pour permettre la construction de maisons payables par annuités. La rue a été créée par l’association. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Union Foncière, rue de l’ – Voir Pussot, rue Jean -Rues en équerre
- Unité, rue de l’ – Voir Magdeleine, rue de la
- Unité Sociale, rue de l’ – Voir Magdeleine, rue de la
- Université, rue de l’ - (baptisée en 1886) -Même voie que ci-dessous Depuis le 9ème siècle, dans un enclos qui longeait la rue, il existait plusieurs établissements d’enseignements, à commencer par le collège des « Bons Enfants » . Lors de fouilles, on a trouvé des traces du Cardo romain. Une maison de 1534 numérotée 2102 (numérotation de 1766) se trouvait dans la rue d'après les archives de l'archevêché. Elle fut démolie à une date inconnue. En 1795, le lycée fut précédé par un collège appelé" salle Saint-Patrice". En 1840, il avait été envisagé de reconstruire le lycée à la place de la caserne Colbert sur le boulevard de la Paix. il fut finalement reconstruit sur place. Dans la cave des cuisines il y avait un accès à des souterrains conduisant vers le cours Anbatole France. (souvenir personnel, explorés en 1950) Y avait-il liaison avec ceux partant de la place du Forum ? En 1864, la rue allait de la place Godinot à la rue du Barbâtre.
5 voies précédentes regroupées et ayant porté plusieurs noms.
-1-A- Martyrs, rue des -Elle allait de la place Carnegie à la place Godinot. Des fouilles ont découvert des tombes antiques avec des squelettes percés de flèches.
-1-B- Saint-Étienne, rue. -Le nom vient de l’église du même nom démolie en 1795. Elle vient en prolongement de la rue de l’Université et de la rue de la Peirière. En 1873, la sous préfecture était installée au n° 33 de la rue. elle était dans ses murs après avoir navigué dans plusieurs endroits de la ville en location de la rue du Marc à la rue de l'Echauderie. Elle a été détruite en 1914. Une maison de 1525 numérotée 2160 s'y trouvait, détruite à une date inconnue.
-1-C- Peirière, rue de la (baptisée en 1836) ( ou ci-dessous)
C'était le prolongement de la rue de l'Université. La rue a été redressée et élargie en 1765. Elle donnait rue Saint-Étienne.
-1-D- Perière, rue de la
-1-E- Révolution, rue de la - (baptisée en 1794)
-1-F-Saint Étienne, rue - (nom repris au 19ème siècle) - Prolongement de la rue de la Révolution. En 1864 on y voyait une maison à l'enseigne de "l’Écu de France" de 1665.
-2-A- Anges, place des -Au 7ème siècle, il existait une chapelle dédiée aux Anges et à l’Archange Saint Michel. La place allait de la place Godinot à la rue du Barbâtre.
-3-À- Saint-Antoine, rue -Dit Antoine l’Ermite (3-4ème siècles.) De l’hôpital du même nom. En médecine, on relevait le cas de la maladie du feu de Saint-Antoine que l’on appelait aussi Feu Sacré, Feu de Saint-Michel, Convulsion de Sologne et plus tard ergotisme. On a fait venir à Reims un religieux de l’ordre des Antonins qui s’étaient « spécialisés » dans cette maladie pour conjurer le mal. En 945, Frodoart (Flodoard) parle d’épidémie ayant touché la France entière. Au 18ème siècle, on découvrit que cela était du à de la farine contaminée par de l’ergot de seigle.
-3-B- Saint-Patrice, rue -Patron de l’Irlande, (385- 461) Lieu de naissance incertain, en Écosse ou Pays de Galle ou France !! (au choix) Baptisée du nom d’une chapelle au nom de ce saint dans l’enceinte du collège des Bons Enfants.
Note : Dans la cour du collège, en bordure des rues ci-dessus, on pouvait voir les voies suivantes
-4-A-Saint Antoine, place -
-4-B- Saint Patrice, cour
-5-A- Enfance, rue de l’ - (baptisée en 1794)
-6-A- Lycée National, rue du
- Université, rue de l’ – Voir France, cours Anatole -Même voie que ci-dessus
- Université, rue de l’ – Voir Grand Credo, rue du -Même voie que ci-dessus
- Urbain, rue Jean Pierre Joseph (créée en 1965) Architecte (26/06/ 1920-18/05/1960)
- Urbain II, rue – Voir Marteau, rue Albert.
- Usine, rue de l’ -Origine : Usine élévatoire des eaux du père Féry dont on peut encore voir le bâtiment en bordure de l’avenue de Champagne.
- Usine du Château, rue de l’ (d’après l’annuaire Matot-Braine de 1901)
Elle allait de la rue de Bétheny à la rue Gosset.
- Utrillo, rue Maurice. Nom réel, Maurice Valladon (créée en 1974) Artiste peintre (26/12/1883-05/11/1955) Né de père inconnu. Sa mère était Suzanne Valladon. Il fit plusieurs séjours à l’asile. Sa peinture a été souvent plagiée, il y eut de nombreux faux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire