- Ecaille, place de l’ – Voir Lenoncourt, place
- Ecaille, rue de l’ -Origine : four banal appelé l’Eschamme (d’après Tarbé) ou détritus de poissons jetés par les cuisiniers du couvent des Minimes. La rue allait de la place Saint Remi à la place Lenoncourt.
2 noms précédents.
-1-A- Minimes, rue des (créée en 1572 - Disparue en 1929) Origine :un couvent. En 1864, elle allait de la place Saint Remi au boulevard Dieu-lumière.
-1-B- Nature, rue de la (baptisée en 1794 pour partie)
-1-C- Minimes, rue des - nom repris au 19ème siècle. disparue en 1929.
- Ecarquille-Con, rue – Voir Gabelle, rue de la
- Echauderie, rue de l’ – Voir Bourgeois, place Léon - Même voie que ci-dessous
- Echauderie, rue de l’ - Voir Rousseau, rue J.J. - Même voie que ci-dessus.
- Echelles, chemin des
- Echelles, cour des (disparue en 1930) -Lieu différent de ci-dessous On y tenait en réserve le matériel contre l’incendie. La cour était située entre les rues du Barbâtre et Ponsardin. En 1884 elle ouvrait au 107 rue du Barbâtre.
- Echelles, cour des -Lieu différent de ci-dessus. Elle existe entre l’avenue Jean Jaurès et la rue de Cernay. Passage étroit. Elle était connue en 1864.
- Echelles, impasse des -Impasse privée. -En 1884, elle ouvrait 58 rue de Cernay.
- Echelles, impasse des
- Echelles, rue des (disparue)
- Ecole de Médecine, rue de l’ – Voir Voltaire, rue Même voie que ci-dessous
- Ecole de Médecine, rue de l’ – Voir Neveux, rue Pol - Même voie que ci-dessus.
- Écoles, rue des - (créée entre 1914 et 1922) voie différente de ci-dessous
- Ecoles, rue des (La Neuvillette) (créée en 1966) Voie différente de ci-dessus
- Ecoles, rue des - Cité du dépôt (disparue en 1929) voie différente de ci-dessus
- Ecoles, rue des – Voir Pot de Vin, rue du Même voie que ci-dessous.
- Ecoles, rue des – Voir Courmeaux, rue Eugène Même voie que ci-dessus.
- Ecoles Notre Dame, rue des – Voir Chapitre, rue du
- Ecossais, rue de l’ – Voir Réville, rue Albert
- Ecossois, rue de l’ – Voir Réville, rue Albert.
- Ecrevées, rue des. -On y trouvait un collège créé par Oubril l’Ecrevé , Albericus Crepatus en latin (Ou Aubry Le Crevet ou Aubery le Crevé ou Albéric Le Crevet ou André Le Cœur suivant les auteurs) Les élèves de ce collège destinés à l’état ecclésiastique s’appelaient «Les Ecrevés » En 1635, c’était une maison de protection pour filles et femmes occupées à des travaux de lingerie. »Elles se crevaient à la tâche », le nom passa au féminin. (2ème explication) En 1908, la proposition de débaptiser la rue pour l’appeler rue Désaubeau resta sans suite. En 1864, elle allait de la rue Saint-Guillaume à la rue Henri IV .
2 noms précédents.
-1-A- Escrevées, lieu-dit Les -D’après l’inscription de la pierre de fondation de l’Hôtel de Ville, posée le 18 juin 1627.
-1-B- Escrevées, rue des – Elle donnait dans la rue de Sedan en 1665.
- Ecrevisse, rue de l’ - (connue au 15ème siècle.) Origine : une enseigne d’un hôtel. La rue donne rue des Élus. En 1864, elle allait de la rue des Tapissiers à la place des Marchés.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Crevisse, rue de la -Déformation de Écrevisse et rappel d’une enseigne avec le crustacé en question.
-1-B- Lescrevisse, rue de l’ - Vu sur le plan Colin de 1665 -Déformation de Écrevisse
-2-A- Pot au Change, rue du -Origine : une enseigne de cabaret : un pot en étain plein d’argent.
- Écu, rue de l’ -Le nom précédent a été abrégé pour éviter la confusion avec une rue du même nom. En 1864, elle allait de l'esplanade Cérès à la rue de Cernay. En 09/1803, les Affiches de Reims indiquent : rue des Ecus
2 voies précédentes successives et regroupées.
-1-A- Ecu de France, rue de l’ -(baptisée en 1632) Une autre auberge du même nom existait rue de Vesle. Pour éviter la confusion, le nom a été abrégé.
-2-A- Cernay, chemin de (pour partie voir chemin de Cernay )
- Écu de France, rue de l’ - voir Ecu, rue de l’
- Ecus, rue des – Voir Temple, rue du
- Eddington, allée Arthur Stanley - Voie privée (créée en 1973) Astronome anglais (28/12/1882-22/11/1944) Il étudia la Relativité. Un cratère de la lune porte son nom ainsi qu’un astéroïde. La voie se termine en impasse.
- Edison, allée Thomas Alva (créée en 1966) Inventeur américain (11/02/1847-18/10/1931) Né à Menlo Park. Il était appelé le magicien de Menlo Park. La ville prit le nom d’Edison. Nom lié au téléphone. Il créa la compagnie Général Electric. Il déposa 1093 brevets. La voie n‘a pas d’existence physique !
- Egalité, rue de l’ (créée en 1929, en partie sur Tinqueux) Voie différente de ci-dessous. Un éditeur de cartes avait inventé les noms de chemin des Dépotoirs et chemin des Marais. Elle a été baptisée pour éviter la mauvaise impression donnée par ces noms.
- Egalité, rue de l’ – Voir Luxembourg, rue de Voie différente de ci-dessus.
- Eglem, rue Jacques – Voir Dérodé, rue
.
- Églantines, chemin rural des
Dans la zone de la Neuvillette.
- Egouts, passage des- En 1889, il allait de la rue des Romains à la rue du Ponceau (Annuaire Matot-Braine.)
- Egouts, rue des – Voir Vernouillet, rue
- Eiffel, boulevard Gustave (créé en 1972) Ingénieur (15/12/1832-27/12/1923) qui créa de nombreuses structures métalliques, ponts, halles et la tour Eiffel, le viaduc de Garabit, la structure de la statue de la Liberté à New York. Ses ancêtres étaient allemands du massif de l’Eiffel venus en France en 1710, du nom de Boenickshausen. Un de ses ancêtres avait pris le patronyme Eiffel, plus aisément prononçable pour un Français . La rue se termine en impasse du côté rue général Micheler.
- Einstein, allée Albert . (Créée en 1966) Physicien allemand naturalisé Suisse puis Américain. (14/03/1879-18/04/1955) Il développa la théorie de la relativité ( E = Mc2 ) Certains chercheurs auraient découvert 2 erreurs dans cette définition. Il obtint le prix Nobel de Physique en 1921. Il existe un corps chimique appelé l’Einsteinium. Il est mort d’une rupture d’anévrisme.
- Eisenhower, Avenue du Général Dwight David. (Baptisée en 1973)(14/10/1890-28/03/1969) Surnommé « Ike » Commandant des forces alliées en Europe en 1943-1945 ( il était passé de 1 à 5 étoiles en 4 ans) Son dernier quartier général était à Reims. En 1945, il habitait l’hôtel de monsieur Mignot, 17 boulevard Lundy et l’état-major se situait dans le collège Moderne où il reçut la capitulation des armées allemandes le 7 mai avec effet le 8 mai. ( Voir complément à "l'allée des 7 et 8 mai 1945". ) Il a été ensuite élu Président des USA. Il a lancé la course à l’espace pendant la « guerre froide » Dans le cimetière de Colleville (Manche) ont été enterrées les archives du général pendant la guerre. Elles ne seront déterrées que le 06/06/2044.
Regroupement de 2 rues précédentes.
-1-A- Mathieu, rue Léon (en partie)
-2-A- Chamery, chemin de (voir rue Léon Mathieu) Commune prés de Reims.
- Eisenhower, esplanade du Général (ou ci-dessous)
Autre nom simultané.
-1-A- Eisenhower, carrefour -non officiel.
- Elem, rue (connue en 1356 - disparue)
- Eleus, ruelle des (connue en 1358 - disparue depuis) Eleus = Elus. Voir la chronique de Rains du 13ème siècle et la citation de Varin en 1377 sur des désordres en ville à propos desquels il parle de supplique des « eleus » au Roi.. En 1592, Jean Pussot écrit " les Esleuz".
- Eluard, rue Paul (Eugène Émile Paul Grindel, dit) (créée en 1976)
Écrivain (14/12/1895-18/11/1952) Il s’intéressa au Dadaïsme et au Surréalisme. Mort d’une crise cardiaque.
- Élus, rue des (rebaptisée en 1841) Là siégeaient les juges de la répartition des impôts. La rue allait de la place des Marchés à la rue du Clou dans le Fer en 1864. Dans cette rue se trouvait le siège de la milice de Reims pendant la 2ème guerre mondiale. Cet organisme fut créé en 1943 par Joseph Darnant. Il était favorable au maréchal Pétain et aux allemands. On lui doit de nombreuses exactions contre les résistants. Ceux ci ont commis un attentat contre le bâtiment le 13 août 1944 qui fut suivi d'une répression féroce.
Réunion de 2 rues ayant porté plusieurs noms successifs.
-1-A- Gieu, rue de -Gieu = juif en langue romane. La rue allait du Forum au Cours Langlet. La présence de juifs à Reims est attestée en 1004.
-1-B- Juifs, rue des (connue au 14e siècle)
-1-C- Juiverie, rue de la - Une synagogue existait dans la rue en 1305.
-1-D- Élus, rue des - connue au 14ème siècle. Au N° 800 (numérotation de 1766) en trouvait en 11/1778 une auberge de la "Ville de Berg op Zoom" et au 04/1789, une auberge du "Cigne" d'après le Journal de Champagne.
-1-E- Bonheur, rue du (baptisée en 1794)
-2-A- Ermitage, rue de l’ (ou Hermitage)La rue allait du cours Langlet à la rue Talleyrand.
-2-B- Bienfaisance, rue de la (baptisée en 1794)
- Émile, rue – Voir Salaire, rue Maurice
- Enfance, chemin de l’ – Voir Benoist-Malot, rue
- Enfance, rue de l’ – Voir Université, rue de l’
- Enfer, cour d’ -(Disparue en 1929) - Voie différente de ci-dessous -D’après l’annuaire Matot-Braine de 1878. A cette date, elle s’ouvrait au 10 rue de Coucy. Il y a doute de l’emplacement de cette cour puisque l’annuaire de 1923 lui donne un autre emplacement. Ou y aurait-il eu 2 cours du même nom ? (Voir ci-dessous)
- Enfer, cour d’ (créée en 1913) -Voie différente de ci-dessus. D’après l’annuaire Matot-Braine de 1923 -confirmé dans l ‘ annuaire de 1925. Elle ouvrait 42 rue du Temple .Voir remarque ci-dessus. Voir problème similaire pour la cour Paradis.
- Entre 2 Ponts, lieu-dit et rue – Voir Vesle, rue de
- Entrecasteaux, rue Antoine de Bruny , chevalier D’ (créée en 1966)
Amiral (08/11/1737-20/07/1793) Il était parti à la recherche de La Pérouse. Mort de la dysenterie, dans le Pacifique prés de Java.
- Entrepôts, impasse des. - voie privée
- Entrepôts, rue des (créée entre 1912 et 1913)
- Eparges, rue des (créée entre 1922 et 1925) Haut lieu de la guerre 1914-1918 prés de Verdun. Un des combats les plus meurtriers pendant 6 mois du 21/09/1914 au 10/04/1915. La crête des Eparges était occupée par les allemands. La 12ème D.I. française fut chargée de la reprendre. Il y eut plus de 10000 morts ou disparus. Le 132ème R.I de Reims s’y est distingué.
- Epargne, rue de l’ (créée en 1929) Voir rue de l’ Egalité pour appellations fantaisistes d’un imprimeur. La rue se termine en impasse.
- Epée, cour de l’ - (créée en 1876 - disparue depuis) Elle s’ouvrait 143 rue du Barbâtre et aurait dû s ‘appeler cour Lépée, du nom de Claude Lépée qui avait acheté les maisons en 1868.
- Epée, rue de l’Abbé Charles Michel De l’ (créée en 1899) Bienfaiteur des sourds-muets (25/11/1712-23/12/1789) Il inventa le langage des signes.
- Epernay, avenue d’ (baptisée en 1887)
Pendant la 1ère guerre mondiale, le "café des sportsmen" (toujours actuel) situé sur un rond-point sans nom au bout de l'avenue a été bombardé . Une chaise du café a volé au plafond et y est restée accrochée . Depuis ce lieu est connu sous le vocable de "la chaise au plafond" Ceci n'est pas unique. En effet, le 18 septembre 1914, une bombe a atteint une maison de la rue Saint Pierre les Dames et a eut le même effet. Mais cette maison ayant été rasée et non reconstruite, seul reste comme souvenir celui de l'avenue d’Épernay.
3 noms précédents successifs.
-1-A- Saint-Eloy, grande rue du faubourg. Saint Eloi travailla d’abord comme orfèvre puis se rendit à la cour du Roi Clotaire avec 2 trônes qu’il avait fabriqué (vers 588 – 01/12/659) Il devint l’argentier de Dagobert puis, à la mort de ce roi, évêque de Noyon. La rue était située prés de la chapelle du même nom détruite en 1789.
-1-B- Épernay, rue du faubourg d’ (créée en 1794) - voir rue Martin-Peller.
-1-C- Épernay, route d'
- Épernay, faubourg d’ – Voir Martin-Peller, rue
- Éperon, lieu-dit l’ - Lieu différent de ci-dessous.Dans le quartier du Barbâtre d’après le cadastre Napoléonien.
- Eperon, lieu-dit L’– voir République, place de la Lieu différent de ci-dessus
- Epicerie, rue de l’ - Voir Bertin, rue Henri
- Epiciers, boulevard des – Voir Lundy, boulevard
- Epiciers, rue des – Voir, Colbert rue
- Epinettes, square des (créé en 1988) Instrument de musique à cordes. Nom de lieu connu en 1617.
- Equerre, rue de l’ - (Créée en 1804) Baptisée en fonction de sa forme. Projet du 19ème siècle non réalisé de prolongation jusqu’à la rue Lagrive. (ce projet apparait sur le plan de 1875) La rue était déjà connue en 1794, ouverte sur les terres de Saint-Pierre les Dames. ( Ou Saint-Étienne les Dames depuis 1629 ). En 1845, en patois rémois, on l'appelait rue Nequerre. Les Dames de Sainte Claire y avaient leur maison en 1875. Lors de fouilles au début du 20ème siècle, on a découvert une voie antique que l'on a suivi sur 2,6 km ce qui en fait la voie la plus longue de l'empire romain. En 1864, la rue allait de la rue de Venise à la rue Neuve.
.
- Equerre, rue de l’ – Voir Perrin, rue -Voie différente de ci-dessus.
- Erlon, cours d’ – Voir Fontaine de la Solidarité, place de la
- Erlon, galerie d’- Voie privée (créée en 1975 ) Galerie commerciale en boucle sur l'emplacement de l'ancien hôtel du Lion D'Or
2 voies précédentes concomitantes ou non pour certains auteurs.
-1-A- Renard Blanc, cour du
-1-B- Renard, impasse du (Baptisée en 1841)
D'autres auteurs les situent en antériorité de la rue Condorcet. (voir à ce nom) Ce qui paraît plus vraisemblable. Le journal de Champagne les situe près de l'église Saint Jacques.
- Ermitage, rue de l’ – Voir Elus, rue des
- Ernst, rue Gaston, Maurice (créée en 1966) Grand invalide de la première guerre mondiale, maire de La Neuvillette, résistant (20/02/1895-1933/1951-26/10/1964) Il fonda la fanfare » l’Espérance Neuvilletoise. »
- Escaut, rue de l’ (créée en 1966) Une bataille importante a eu lieu autour de cette rivière le 26/09/1918. Au cours des batailles de la Somme qui comprend aussi l’Yser, les troupes britanniques, canadiennes et Australiennes ont perdu plus de 55000 morts
.- Eschenbrenner, allée Pierre . (Créée en 1987) Ingénieur (03/10/1898-14/01/1972) Il était organiste bénévole, 46 ans au pupitre de Saint- Nicaise. Il persuada la ville de Reims de donner des noms de musiciens aux voies du quartier Wilson. La voie se termine en impasse.
- Escorcherie, rue de l’ (connue en 1358 - disparue depuis) Il y avait un abattoir dans cette rue.
- Escrevées, lieu-dit Les et rue des - Voir Ecrevées, rue des
- Esleuz, rue des - Voir Eleus, rue des
- Espagne, allée de l’ (créée en 1966)
- Espérance, rue de l’ (créée en 1887) En 1892, la rue allait de la rue de Courlancy au chemin de la Terrière. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Espérance de la Patrie, rue de l’ – Voir Orphelins, rue des
- Esplanade, impasse de l’ – Voir Lundy, impasse
- Esplanade, rue de l’ – Voir Warnier, rue Jules
- Esplanade Cérès, place de l’ – Voir Briand, place Aristide
- Esplanade du Sud - rue de l' - En 1889 elle allait du boulevard Dieu-Lumière au cimetière du Sud (Annuaire Matot-Braine)
- Essillards, parc des
- Essillards, rue des (baptisée en 1952)
2 noms précédents.
-1-A- Essillard, lieu-dit (connu en 1905) Nom d’un cabaret.
-1-B- Essillards, lieu-dit Les (baptisé en 1936.)
- Est, allée de l’ – Voir 7 et 8 mai 1945, allée des
- Est, rue de l’ – Voir Coquebert, rue
- Estal aux Mulettes, rue de l’ (connue en 1358 - disparue depuis) 2 explications de « Mulettes » Soit, petite meule, peu probable, soit moule perlière. Y aurait-il eu un marchand de coquillages dans cette rue ? Dans les environs les moines des « Minimes » mangeaient beaucoup de poissons et produits de la mer.
- Estamineurs, rue des (créée en 2008) Baptisée en souvenir de l’usine Holden dans la Zac Dauphinot et en général de tous les ouvriers du peignage ou du tissage, importants à Reims au 19ème siècle. Elle donne dans la rue de la Ferme des Anglais et la rue Charles Fandre.
- Esterno, square Nathalie, Comtesse d’ (créé en 02/2008) Conservatrice du musée Le Vergeur de 1979 à 2002. Elle a été précédemment professeur de français à New York. Le square donne dans la rue des 1er et 41ème bataillons de chasseurs.
- Estienne, rue du Général Jean Baptiste Eugène (baptisée en 1961) Il s’intéressa d’abord à l ‘aviation et fut nommé à la tête du service aéronautique militaire. Puis il découvrit les avantages des chars d’assaut. Précurseur et théoricien de l’arme blindée. ( 07/11/1860-02/04/1936) Il fut nommé à la tête de cette arme. En 1921, au carrefour avec le boulevard Roederer il y avait un baraquement provisoire en bois.
Une voie précédente.
-1-A- Drouet D’Erlon, chaussée
-1-B- Colbert, chaussée -d'après l'annuaire Matot-Braine. Elle existait en 1925 entre les Basses Promenades et le square Colbert.
- Estienne d’Orves, rue Honoré D’ (baptisée en 1946) Officier de marine, résistant (06/06/1901-fusillé le 24/08/1941)
2 noms précédents concomitants
-1-A- Champfleury, rue de (ou ci-dessous) Cette rue a été débaptisée par ordre du gouvernement. Commune prés de Reims
-1-B- Chamfleury, rue de - Au 17ème siècle, le village s'appelait Champ-Fleury.
- Estournelles de Constant, place Paul-Henri Balluat D’ (créée en 1925) Baron de Constant de Rebecque d’Estournelle. Diplomate (22/11/1852-15/05/1924) Il reçut le prix Nobel de la Paix en 1909. Depuis 1933, le rond point ne porte plus de nom. Il est situé entre la route de Louvois et la rue du Renouveau.
- Etape, galerie de l’ -Voie privée donnant rue de l’Etape et place d’Erlon en angle droit.
- Etape, rue de l’ -La rue a été rebaptisée après le déclin de la vente de vin. En vieux français, Etape signifie marché public. En 01/1775, on y voyait la maison dite de "Saint Pierre le Pécheur" . En 06/1784, on y voyait le "Grand Café" et l'auberge du Mouton Noir. En 07/1796, au numéro 26 (numérotation de 1791) on voyait la maison du "Grand Credo" . En 1867, au numéro 31 une pâtisserie fut la première à Reims à fabriquer du chocolat. Avant la première guerre mondiale, on trouvait un "casino" ou Maurice Chevalier fit ses débuts au début du 20ème siècle. Dans cet établissement, en 1896 on vit les 1ères séances du cinématographe Lumière. Auparavant, la société "Pathé Palace" organisait des tournées régionales avec des camionnettes. A Reims, les séances avaient lieu au cirque. Dans la rue, un autre établissement , la " Select Tavern" présentait son décor art-nouveau. . En 1908, on pouvait encore y voir un établissement de bains publics, les bains Santerre. Au N° 24, en 1960, on trouvait le magasin "Au bébé de France" remplacé par une galerie marchande.
Un nom précédent.
-1-A- Etape aux Vins, rue de l’ (créée en 1765) Les vignerons y vendaient directement leur production.
- Etape aux Vins, rue de l’ – Voir Etape, rue de l’
- Etat-Major, rue de l’ – Voir Battesti, rue du général
- Etats-Unis, place des (créée en 1925) En réalité, il s’agît d’un simple carrefour.
- Etaux, rue des – Voir Hincmar, rue
- Etoile, rue de l’ (créée entre 1914 et 1922) - Voie parallèle à ci-dessous.
- Etoile, rue de l’ – Voir Grigny, rue Nicolas de - Voie parallèle à ci-dessus.
- Etroite, rue – Voir Gabelle, rue de la
- Europe, avenue de l’ (créée en 1966)
- Europe, square de l’ (créé en 1979)
- Eveloy, rue Rémi Octave (créée en 1936) Premier directeur de l’école du faubourg Fléchambault. (17/11/1848-09/02/1928)
- Ecaille, rue de l’ -Origine : four banal appelé l’Eschamme (d’après Tarbé) ou détritus de poissons jetés par les cuisiniers du couvent des Minimes. La rue allait de la place Saint Remi à la place Lenoncourt.
2 noms précédents.
-1-A- Minimes, rue des (créée en 1572 - Disparue en 1929) Origine :un couvent. En 1864, elle allait de la place Saint Remi au boulevard Dieu-lumière.
-1-B- Nature, rue de la (baptisée en 1794 pour partie)
-1-C- Minimes, rue des - nom repris au 19ème siècle. disparue en 1929.
- Ecarquille-Con, rue – Voir Gabelle, rue de la
- Echauderie, rue de l’ – Voir Bourgeois, place Léon - Même voie que ci-dessous
- Echauderie, rue de l’ - Voir Rousseau, rue J.J. - Même voie que ci-dessus.
- Echelles, chemin des
- Echelles, cour des (disparue en 1930) -Lieu différent de ci-dessous On y tenait en réserve le matériel contre l’incendie. La cour était située entre les rues du Barbâtre et Ponsardin. En 1884 elle ouvrait au 107 rue du Barbâtre.
- Echelles, cour des -Lieu différent de ci-dessus. Elle existe entre l’avenue Jean Jaurès et la rue de Cernay. Passage étroit. Elle était connue en 1864.
- Echelles, impasse des -Impasse privée. -En 1884, elle ouvrait 58 rue de Cernay.
- Echelles, impasse des
- Echelles, rue des (disparue)
- Ecole de Médecine, rue de l’ – Voir Voltaire, rue Même voie que ci-dessous
- Ecole de Médecine, rue de l’ – Voir Neveux, rue Pol - Même voie que ci-dessus.
- Écoles, rue des - (créée entre 1914 et 1922) voie différente de ci-dessous
- Ecoles, rue des (La Neuvillette) (créée en 1966) Voie différente de ci-dessus
- Ecoles, rue des - Cité du dépôt (disparue en 1929) voie différente de ci-dessus
- Ecoles, rue des – Voir Pot de Vin, rue du Même voie que ci-dessous.
- Ecoles, rue des – Voir Courmeaux, rue Eugène Même voie que ci-dessus.
- Ecoles Notre Dame, rue des – Voir Chapitre, rue du
- Ecossais, rue de l’ – Voir Réville, rue Albert
- Ecossois, rue de l’ – Voir Réville, rue Albert.
- Ecrevées, rue des. -On y trouvait un collège créé par Oubril l’Ecrevé , Albericus Crepatus en latin (Ou Aubry Le Crevet ou Aubery le Crevé ou Albéric Le Crevet ou André Le Cœur suivant les auteurs) Les élèves de ce collège destinés à l’état ecclésiastique s’appelaient «Les Ecrevés » En 1635, c’était une maison de protection pour filles et femmes occupées à des travaux de lingerie. »Elles se crevaient à la tâche », le nom passa au féminin. (2ème explication) En 1908, la proposition de débaptiser la rue pour l’appeler rue Désaubeau resta sans suite. En 1864, elle allait de la rue Saint-Guillaume à la rue Henri IV .
2 noms précédents.
-1-A- Escrevées, lieu-dit Les -D’après l’inscription de la pierre de fondation de l’Hôtel de Ville, posée le 18 juin 1627.
-1-B- Escrevées, rue des – Elle donnait dans la rue de Sedan en 1665.
- Ecrevisse, rue de l’ - (connue au 15ème siècle.) Origine : une enseigne d’un hôtel. La rue donne rue des Élus. En 1864, elle allait de la rue des Tapissiers à la place des Marchés.
2 voies précédentes regroupées.
-1-A- Crevisse, rue de la -Déformation de Écrevisse et rappel d’une enseigne avec le crustacé en question.
-1-B- Lescrevisse, rue de l’ - Vu sur le plan Colin de 1665 -Déformation de Écrevisse
-2-A- Pot au Change, rue du -Origine : une enseigne de cabaret : un pot en étain plein d’argent.
- Écu, rue de l’ -Le nom précédent a été abrégé pour éviter la confusion avec une rue du même nom. En 1864, elle allait de l'esplanade Cérès à la rue de Cernay. En 09/1803, les Affiches de Reims indiquent : rue des Ecus
2 voies précédentes successives et regroupées.
-1-A- Ecu de France, rue de l’ -(baptisée en 1632) Une autre auberge du même nom existait rue de Vesle. Pour éviter la confusion, le nom a été abrégé.
-2-A- Cernay, chemin de (pour partie voir chemin de Cernay )
- Écu de France, rue de l’ - voir Ecu, rue de l’
- Ecus, rue des – Voir Temple, rue du
- Eddington, allée Arthur Stanley - Voie privée (créée en 1973) Astronome anglais (28/12/1882-22/11/1944) Il étudia la Relativité. Un cratère de la lune porte son nom ainsi qu’un astéroïde. La voie se termine en impasse.
- Edison, allée Thomas Alva (créée en 1966) Inventeur américain (11/02/1847-18/10/1931) Né à Menlo Park. Il était appelé le magicien de Menlo Park. La ville prit le nom d’Edison. Nom lié au téléphone. Il créa la compagnie Général Electric. Il déposa 1093 brevets. La voie n‘a pas d’existence physique !
- Egalité, rue de l’ (créée en 1929, en partie sur Tinqueux) Voie différente de ci-dessous. Un éditeur de cartes avait inventé les noms de chemin des Dépotoirs et chemin des Marais. Elle a été baptisée pour éviter la mauvaise impression donnée par ces noms.
- Egalité, rue de l’ – Voir Luxembourg, rue de Voie différente de ci-dessus.
- Eglem, rue Jacques – Voir Dérodé, rue
.
- Églantines, chemin rural des
Dans la zone de la Neuvillette.
- Egouts, passage des- En 1889, il allait de la rue des Romains à la rue du Ponceau (Annuaire Matot-Braine.)
- Egouts, rue des – Voir Vernouillet, rue
- Eiffel, boulevard Gustave (créé en 1972) Ingénieur (15/12/1832-27/12/1923) qui créa de nombreuses structures métalliques, ponts, halles et la tour Eiffel, le viaduc de Garabit, la structure de la statue de la Liberté à New York. Ses ancêtres étaient allemands du massif de l’Eiffel venus en France en 1710, du nom de Boenickshausen. Un de ses ancêtres avait pris le patronyme Eiffel, plus aisément prononçable pour un Français . La rue se termine en impasse du côté rue général Micheler.
- Einstein, allée Albert . (Créée en 1966) Physicien allemand naturalisé Suisse puis Américain. (14/03/1879-18/04/1955) Il développa la théorie de la relativité ( E = Mc2 ) Certains chercheurs auraient découvert 2 erreurs dans cette définition. Il obtint le prix Nobel de Physique en 1921. Il existe un corps chimique appelé l’Einsteinium. Il est mort d’une rupture d’anévrisme.
- Eisenhower, Avenue du Général Dwight David. (Baptisée en 1973)(14/10/1890-28/03/1969) Surnommé « Ike » Commandant des forces alliées en Europe en 1943-1945 ( il était passé de 1 à 5 étoiles en 4 ans) Son dernier quartier général était à Reims. En 1945, il habitait l’hôtel de monsieur Mignot, 17 boulevard Lundy et l’état-major se situait dans le collège Moderne où il reçut la capitulation des armées allemandes le 7 mai avec effet le 8 mai. ( Voir complément à "l'allée des 7 et 8 mai 1945". ) Il a été ensuite élu Président des USA. Il a lancé la course à l’espace pendant la « guerre froide » Dans le cimetière de Colleville (Manche) ont été enterrées les archives du général pendant la guerre. Elles ne seront déterrées que le 06/06/2044.
Regroupement de 2 rues précédentes.
-1-A- Mathieu, rue Léon (en partie)
-2-A- Chamery, chemin de (voir rue Léon Mathieu) Commune prés de Reims.
- Eisenhower, esplanade du Général (ou ci-dessous)
Autre nom simultané.
-1-A- Eisenhower, carrefour -non officiel.
- Elem, rue (connue en 1356 - disparue)
- Eleus, ruelle des (connue en 1358 - disparue depuis) Eleus = Elus. Voir la chronique de Rains du 13ème siècle et la citation de Varin en 1377 sur des désordres en ville à propos desquels il parle de supplique des « eleus » au Roi.. En 1592, Jean Pussot écrit " les Esleuz".
- Eluard, rue Paul (Eugène Émile Paul Grindel, dit) (créée en 1976)
Écrivain (14/12/1895-18/11/1952) Il s’intéressa au Dadaïsme et au Surréalisme. Mort d’une crise cardiaque.
- Élus, rue des (rebaptisée en 1841) Là siégeaient les juges de la répartition des impôts. La rue allait de la place des Marchés à la rue du Clou dans le Fer en 1864. Dans cette rue se trouvait le siège de la milice de Reims pendant la 2ème guerre mondiale. Cet organisme fut créé en 1943 par Joseph Darnant. Il était favorable au maréchal Pétain et aux allemands. On lui doit de nombreuses exactions contre les résistants. Ceux ci ont commis un attentat contre le bâtiment le 13 août 1944 qui fut suivi d'une répression féroce.
Réunion de 2 rues ayant porté plusieurs noms successifs.
-1-A- Gieu, rue de -Gieu = juif en langue romane. La rue allait du Forum au Cours Langlet. La présence de juifs à Reims est attestée en 1004.
-1-B- Juifs, rue des (connue au 14e siècle)
-1-C- Juiverie, rue de la - Une synagogue existait dans la rue en 1305.
-1-D- Élus, rue des - connue au 14ème siècle. Au N° 800 (numérotation de 1766) en trouvait en 11/1778 une auberge de la "Ville de Berg op Zoom" et au 04/1789, une auberge du "Cigne" d'après le Journal de Champagne.
-1-E- Bonheur, rue du (baptisée en 1794)
-2-A- Ermitage, rue de l’ (ou Hermitage)La rue allait du cours Langlet à la rue Talleyrand.
-2-B- Bienfaisance, rue de la (baptisée en 1794)
- Émile, rue – Voir Salaire, rue Maurice
- Enfance, chemin de l’ – Voir Benoist-Malot, rue
- Enfance, rue de l’ – Voir Université, rue de l’
- Enfer, cour d’ -(Disparue en 1929) - Voie différente de ci-dessous -D’après l’annuaire Matot-Braine de 1878. A cette date, elle s’ouvrait au 10 rue de Coucy. Il y a doute de l’emplacement de cette cour puisque l’annuaire de 1923 lui donne un autre emplacement. Ou y aurait-il eu 2 cours du même nom ? (Voir ci-dessous)
- Enfer, cour d’ (créée en 1913) -Voie différente de ci-dessus. D’après l’annuaire Matot-Braine de 1923 -confirmé dans l ‘ annuaire de 1925. Elle ouvrait 42 rue du Temple .Voir remarque ci-dessus. Voir problème similaire pour la cour Paradis.
- Entre 2 Ponts, lieu-dit et rue – Voir Vesle, rue de
- Entrecasteaux, rue Antoine de Bruny , chevalier D’ (créée en 1966)
Amiral (08/11/1737-20/07/1793) Il était parti à la recherche de La Pérouse. Mort de la dysenterie, dans le Pacifique prés de Java.
- Entrepôts, impasse des. - voie privée
- Entrepôts, rue des (créée entre 1912 et 1913)
- Eparges, rue des (créée entre 1922 et 1925) Haut lieu de la guerre 1914-1918 prés de Verdun. Un des combats les plus meurtriers pendant 6 mois du 21/09/1914 au 10/04/1915. La crête des Eparges était occupée par les allemands. La 12ème D.I. française fut chargée de la reprendre. Il y eut plus de 10000 morts ou disparus. Le 132ème R.I de Reims s’y est distingué.
- Epargne, rue de l’ (créée en 1929) Voir rue de l’ Egalité pour appellations fantaisistes d’un imprimeur. La rue se termine en impasse.
- Epée, cour de l’ - (créée en 1876 - disparue depuis) Elle s’ouvrait 143 rue du Barbâtre et aurait dû s ‘appeler cour Lépée, du nom de Claude Lépée qui avait acheté les maisons en 1868.
- Epée, rue de l’Abbé Charles Michel De l’ (créée en 1899) Bienfaiteur des sourds-muets (25/11/1712-23/12/1789) Il inventa le langage des signes.
- Epernay, avenue d’ (baptisée en 1887)
Pendant la 1ère guerre mondiale, le "café des sportsmen" (toujours actuel) situé sur un rond-point sans nom au bout de l'avenue a été bombardé . Une chaise du café a volé au plafond et y est restée accrochée . Depuis ce lieu est connu sous le vocable de "la chaise au plafond" Ceci n'est pas unique. En effet, le 18 septembre 1914, une bombe a atteint une maison de la rue Saint Pierre les Dames et a eut le même effet. Mais cette maison ayant été rasée et non reconstruite, seul reste comme souvenir celui de l'avenue d’Épernay.
3 noms précédents successifs.
-1-A- Saint-Eloy, grande rue du faubourg. Saint Eloi travailla d’abord comme orfèvre puis se rendit à la cour du Roi Clotaire avec 2 trônes qu’il avait fabriqué (vers 588 – 01/12/659) Il devint l’argentier de Dagobert puis, à la mort de ce roi, évêque de Noyon. La rue était située prés de la chapelle du même nom détruite en 1789.
-1-B- Épernay, rue du faubourg d’ (créée en 1794) - voir rue Martin-Peller.
-1-C- Épernay, route d'
- Épernay, faubourg d’ – Voir Martin-Peller, rue
- Éperon, lieu-dit l’ - Lieu différent de ci-dessous.Dans le quartier du Barbâtre d’après le cadastre Napoléonien.
- Eperon, lieu-dit L’– voir République, place de la Lieu différent de ci-dessus
- Epicerie, rue de l’ - Voir Bertin, rue Henri
- Epiciers, boulevard des – Voir Lundy, boulevard
- Epiciers, rue des – Voir, Colbert rue
- Epinettes, square des (créé en 1988) Instrument de musique à cordes. Nom de lieu connu en 1617.
- Equerre, rue de l’ - (Créée en 1804) Baptisée en fonction de sa forme. Projet du 19ème siècle non réalisé de prolongation jusqu’à la rue Lagrive. (ce projet apparait sur le plan de 1875) La rue était déjà connue en 1794, ouverte sur les terres de Saint-Pierre les Dames. ( Ou Saint-Étienne les Dames depuis 1629 ). En 1845, en patois rémois, on l'appelait rue Nequerre. Les Dames de Sainte Claire y avaient leur maison en 1875. Lors de fouilles au début du 20ème siècle, on a découvert une voie antique que l'on a suivi sur 2,6 km ce qui en fait la voie la plus longue de l'empire romain. En 1864, la rue allait de la rue de Venise à la rue Neuve.
.
- Equerre, rue de l’ – Voir Perrin, rue -Voie différente de ci-dessus.
- Erlon, cours d’ – Voir Fontaine de la Solidarité, place de la
- Erlon, galerie d’- Voie privée (créée en 1975 ) Galerie commerciale en boucle sur l'emplacement de l'ancien hôtel du Lion D'Or
2 voies précédentes concomitantes ou non pour certains auteurs.
-1-A- Renard Blanc, cour du
-1-B- Renard, impasse du (Baptisée en 1841)
D'autres auteurs les situent en antériorité de la rue Condorcet. (voir à ce nom) Ce qui paraît plus vraisemblable. Le journal de Champagne les situe près de l'église Saint Jacques.
- Ermitage, rue de l’ – Voir Elus, rue des
- Ernst, rue Gaston, Maurice (créée en 1966) Grand invalide de la première guerre mondiale, maire de La Neuvillette, résistant (20/02/1895-1933/1951-26/10/1964) Il fonda la fanfare » l’Espérance Neuvilletoise. »
- Escaut, rue de l’ (créée en 1966) Une bataille importante a eu lieu autour de cette rivière le 26/09/1918. Au cours des batailles de la Somme qui comprend aussi l’Yser, les troupes britanniques, canadiennes et Australiennes ont perdu plus de 55000 morts
.- Eschenbrenner, allée Pierre . (Créée en 1987) Ingénieur (03/10/1898-14/01/1972) Il était organiste bénévole, 46 ans au pupitre de Saint- Nicaise. Il persuada la ville de Reims de donner des noms de musiciens aux voies du quartier Wilson. La voie se termine en impasse.
- Escorcherie, rue de l’ (connue en 1358 - disparue depuis) Il y avait un abattoir dans cette rue.
- Escrevées, lieu-dit Les et rue des - Voir Ecrevées, rue des
- Esleuz, rue des - Voir Eleus, rue des
- Espagne, allée de l’ (créée en 1966)
- Espérance, rue de l’ (créée en 1887) En 1892, la rue allait de la rue de Courlancy au chemin de la Terrière. Cette voie n’a pas été reconnue par la mairie en 1895.
- Espérance de la Patrie, rue de l’ – Voir Orphelins, rue des
- Esplanade, impasse de l’ – Voir Lundy, impasse
- Esplanade, rue de l’ – Voir Warnier, rue Jules
- Esplanade Cérès, place de l’ – Voir Briand, place Aristide
- Esplanade du Sud - rue de l' - En 1889 elle allait du boulevard Dieu-Lumière au cimetière du Sud (Annuaire Matot-Braine)
- Essillards, parc des
- Essillards, rue des (baptisée en 1952)
2 noms précédents.
-1-A- Essillard, lieu-dit (connu en 1905) Nom d’un cabaret.
-1-B- Essillards, lieu-dit Les (baptisé en 1936.)
- Est, allée de l’ – Voir 7 et 8 mai 1945, allée des
- Est, rue de l’ – Voir Coquebert, rue
- Estal aux Mulettes, rue de l’ (connue en 1358 - disparue depuis) 2 explications de « Mulettes » Soit, petite meule, peu probable, soit moule perlière. Y aurait-il eu un marchand de coquillages dans cette rue ? Dans les environs les moines des « Minimes » mangeaient beaucoup de poissons et produits de la mer.
- Estamineurs, rue des (créée en 2008) Baptisée en souvenir de l’usine Holden dans la Zac Dauphinot et en général de tous les ouvriers du peignage ou du tissage, importants à Reims au 19ème siècle. Elle donne dans la rue de la Ferme des Anglais et la rue Charles Fandre.
- Esterno, square Nathalie, Comtesse d’ (créé en 02/2008) Conservatrice du musée Le Vergeur de 1979 à 2002. Elle a été précédemment professeur de français à New York. Le square donne dans la rue des 1er et 41ème bataillons de chasseurs.
- Estienne, rue du Général Jean Baptiste Eugène (baptisée en 1961) Il s’intéressa d’abord à l ‘aviation et fut nommé à la tête du service aéronautique militaire. Puis il découvrit les avantages des chars d’assaut. Précurseur et théoricien de l’arme blindée. ( 07/11/1860-02/04/1936) Il fut nommé à la tête de cette arme. En 1921, au carrefour avec le boulevard Roederer il y avait un baraquement provisoire en bois.
Une voie précédente.
-1-A- Drouet D’Erlon, chaussée
-1-B- Colbert, chaussée -d'après l'annuaire Matot-Braine. Elle existait en 1925 entre les Basses Promenades et le square Colbert.
- Estienne d’Orves, rue Honoré D’ (baptisée en 1946) Officier de marine, résistant (06/06/1901-fusillé le 24/08/1941)
2 noms précédents concomitants
-1-A- Champfleury, rue de (ou ci-dessous) Cette rue a été débaptisée par ordre du gouvernement. Commune prés de Reims
-1-B- Chamfleury, rue de - Au 17ème siècle, le village s'appelait Champ-Fleury.
- Estournelles de Constant, place Paul-Henri Balluat D’ (créée en 1925) Baron de Constant de Rebecque d’Estournelle. Diplomate (22/11/1852-15/05/1924) Il reçut le prix Nobel de la Paix en 1909. Depuis 1933, le rond point ne porte plus de nom. Il est situé entre la route de Louvois et la rue du Renouveau.
- Etape, galerie de l’ -Voie privée donnant rue de l’Etape et place d’Erlon en angle droit.
- Etape, rue de l’ -La rue a été rebaptisée après le déclin de la vente de vin. En vieux français, Etape signifie marché public. En 01/1775, on y voyait la maison dite de "Saint Pierre le Pécheur" . En 06/1784, on y voyait le "Grand Café" et l'auberge du Mouton Noir. En 07/1796, au numéro 26 (numérotation de 1791) on voyait la maison du "Grand Credo" . En 1867, au numéro 31 une pâtisserie fut la première à Reims à fabriquer du chocolat. Avant la première guerre mondiale, on trouvait un "casino" ou Maurice Chevalier fit ses débuts au début du 20ème siècle. Dans cet établissement, en 1896 on vit les 1ères séances du cinématographe Lumière. Auparavant, la société "Pathé Palace" organisait des tournées régionales avec des camionnettes. A Reims, les séances avaient lieu au cirque. Dans la rue, un autre établissement , la " Select Tavern" présentait son décor art-nouveau. . En 1908, on pouvait encore y voir un établissement de bains publics, les bains Santerre. Au N° 24, en 1960, on trouvait le magasin "Au bébé de France" remplacé par une galerie marchande.
Un nom précédent.
-1-A- Etape aux Vins, rue de l’ (créée en 1765) Les vignerons y vendaient directement leur production.
- Etape aux Vins, rue de l’ – Voir Etape, rue de l’
- Etat-Major, rue de l’ – Voir Battesti, rue du général
- Etats-Unis, place des (créée en 1925) En réalité, il s’agît d’un simple carrefour.
- Etaux, rue des – Voir Hincmar, rue
- Etoile, rue de l’ (créée entre 1914 et 1922) - Voie parallèle à ci-dessous.
- Etoile, rue de l’ – Voir Grigny, rue Nicolas de - Voie parallèle à ci-dessus.
- Etroite, rue – Voir Gabelle, rue de la
- Europe, avenue de l’ (créée en 1966)
- Europe, square de l’ (créé en 1979)
- Eveloy, rue Rémi Octave (créée en 1936) Premier directeur de l’école du faubourg Fléchambault. (17/11/1848-09/02/1928)
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